Le BLAP numéro XIV est en kiosque (ou presque)

par id7233808.sexyknr.website

Arrivée dans ma boîte aux lettres hier, La lettre de Port-Tounens informe les « chers amis et compatriotes » du Consulat général de Patagonie que le numéro XIV du BLAP sera disponible pour Noël.

La lettre de Port-Tounens envoyée par la Chancellerie

Vous ne connaissez pas cet acronyme barbare ?

BLAP = Bulletin de Liaison des Amitiés Patagones aussi appelé le Moniteur de Port-Tounens.

Ce bulletin est édité par la Chancellerie du Consulat général de Patagonie. Il est aussi l’unique lien entre le Consulat et plus particulièrement le Consul, Jean Raspail, et les Patagons qui se l’arrachent.

Sa rubrique la plus intéressante est bien sûr l’annuaire diplomatique et consulaire (je n’invente rien). Encore plus chic que le botin mondain, plus sélectif que le Who’s Who, il recense, par départements, tous les Patagons naturalisés et en règle avec la Chancellerie… Une étude approfondie révèle quelques surprises !

J’ai eu l’occasion d’avoir presque tous les numéros du BLAP entre les mains et l’objet non identifié à la parution épisodique a évolué de la feuille de chou à un épais magazine sur papier glacé.

Si l’on en croit La lettre de Port-Tounens, « le numéro XIV comportera 164 pages, dont 68 pages de photographies et documents en couleurs, un annuaire général de tous les sujets de S.M. enregistrés à la chancellerie et un annuaire diplomatique et consulaire réactualisé, ainsi qu’un éditorial, divers articles et reportages inédits ».

Peut-être y trouvera-t-on aussi des informations sur la prochaine reprise des Minquiers (le récit vaut le détour), qui aurait du, en toute logique, avoir lieu en 2012…

Quant aux détails techniques, sachez que le tirage du BLAP est limité « comme il sied à un document de collection », la chancellerie appelle donc ses ouailles à commander son BLAP au plus vite.

Venons-en au plus important : le magazine coûte tout de même 33€, mais seulement 0,33 pesos patagons.  Une augmentation de 3€ par rapport au dernier BLAP que la chancellerie — réjouissons-nous ! — attribue au besoin de couvrir ses dépenses face au nombre croissant de sujets patagons…

NB : Pour plus de renseignements laissez un mot en commentaire, je vous enverrai l’adresse postale de la chancellerie.